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Rituels et pratique magique : les causes d'échec
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Rituels et pratique magique : les causes d'échec
La magie peut de grandes choses. Il y a même peu de choses qui demeurent réellement inaccessibles. Comment expliquer alors que certains rituels échouent, particulièrement dans le début d'une vie magique ?
Est-ce la magie elle-même qui est en cause? Ou le praticien…
Dans ce topic, je vais tenter d'aborder les causes les plus répandues d'échecs magiques, afin que chacun soit à même de les éviter, et ce quel que soit le niveau de pratique.
Dans les diverses disciplines magiques, vouloir c'est pouvoir. C'est un véritable pilier de la pratique, fidèle à la maxime "Quand on veut, on peut".
Ce qu'on doit déployer dans un rituel magique s'appelle "la volonté forte". C'est un état de volonté supérieure, une volonté focalisée et absolue qui doit être dirigée correctement au moment clé du rituel.
Quand on a un vague désir concernant le but à atteindre, quand cette volonté n'est pas un état transcendant, une sorte de "volonté de fer", alors il y a fort à parier que le rituel n'obtienne que de timides résultats, voire même aucun.
Le Sorcier doit absolument être capable de vouloir avec puissance. La volonté est le premier carburant d'un rituel quel qu'il soit. Un état de mollesse ou un désir peu intense ne fournissent pas l'énergie nécessaire pour que le rituel fonctionne.
Il existe certains exercices qui aident à affuter un état de volonté forte, et qui peuvent être fort précieux pour contourner ce premier écueil.
Ici, il ne s'agit pas de volonté, mais d'un état d'absolue conviction que le rituel va fonctionner, que la magie existe, que le but est atteignable, et que l'on procède correctement. C'est un état de foi.
Pendant et après le rituel, il est crucial de croire. Si le doute s'insinue, il mine le rituel et contrarie les énergies manipulées et relâchées vers leur objectif.
Si je pratique un rituel pendant lequel je passe mon temps à me dire "il y peu de chances que ça marche", "toutes ces foutaises quand même !", ou "est-ce que c'est vraiment possible ?", autant ne rien faire !! Le doute mine le rituel. C'est votre pire ennemi.
Déployer une forte volonté ne suffit pas si je doute qu'elle puisse m'apporter ce que je veux.
Il faut être dans un état de confiance et de conviction profonde, sous peine d'échec. Et même quand on se trouve perturbé dans un rituel par un détail (ca nous est arrivé à tous : de la cire qui dégouline, raccrocher sur des mots, laisser tomber un objet, etc.), il faut garder un état de parfaite conviction que : OUI, CA VA MARCHER !
Et après le rituel ? C'est sans doute la partie la plus délicate. Beaucoup d'auteurs conseillent de revenir au monde matériel en mangeant quelque chose, en se posant devant un film et surtout à ne plus penser à ce qu'on vient de faire. Pourquoi ? Parce que si je viens d'achever mon rituel, et que je me mets à me dire sans cesse "est-ce que ca va marcher ?", "est-ce que j'ai réussi ?", "je doute que ca marche !" etc., je produis alors une force antagoniste qui contre la force libérée par mon rituel. Ca risque au mieux de perturber les résultats, au pire, en cas de doute intense, de les nier, de les éradiquer.
Bien sûr nous sommes humains, et qui ne s'est jamais posé des questions les jours suivant un rituel, tâchant de déterminer si il allait réussir ? Mais pour un maximum de résultats, il faut en être absolument convaincu.
Chasser le doute d'un esprit très rationnel n'est pas chose aisée, et c'est une autre cause majeure d'échec. Autant que possible, il faut rester confiant, déterminé et sûr que tout se passe bien.
Il n'y a pas que nous-même qui puissions être des sources de nuisances pour nos rituels. Il y a les autres, en particulier ceux qui n'y croient pas. C'est pour ca que dans les 4 grands piliers de la sorcellerie dont nous aurons peut-être l'occasion de reparler, est mentionné le silence ("Savoir, vouloir, oser, se taire").
Pourquoi "se taire" ? Parce que si je me mets à clamer un peu partout que je vais ou que je viens de faire un rituel pour obtenir telle chose, ceux qui obtiennent cette information créeront sans doute une énergie parasite, surtout les plus sceptiques. Une énergie négative entravant les forces libérées.
Untel dira "il s'illusionne ! il croit vraiment au Père Noël !", un autre "ca ne peut pas marcher…", un autre "j'aimerais bien qu'il échoue !", etc.
C'est ce qu'on appelle des "Formes Pensées", des idées qui se matérialisent sur les plans subtils et qui pour le coup vont télescoper la force générée par le rituel.
Bien sûr, on peut se confier à un autre sorcier de confiance dont on sait qu'il est favorable et qu'il ne générera pas ce type de négativité. Mais c'est généralement une très mauvaise idée de confier qu'on va, ou qu'on a procédé à une opération magique à n'importe qui, et à plus forte raison à des gens qui n'y croient pas.
Moi-même je reste généralement extrêmement discret sur les rituels que je pratique, même avec mes pairs, quand je sens qu'il pourrait y avoir une forme de doute ou de scepticisme quant à telle ou telle opération. Il n'y a qu'à des amis de confiance que je m'ouvre, et encore, pas sur tout…
Il faut donc cultiver le secret quant à ses activités. C'est pour ça que la magie est tellement nimbée de mystère et de codes. Les praticiens sérieux s'enveloppent dans ce mystère pour protéger les buts qu'ils servent.
Voilà quelques uns des écueils les plus classiques. Eviter déjà ceux-là, c'est se protéger de beaucoup de désillusions. Il ne faut pas voir ça comme des contraintes, mais prendre ces plis là est déjà un moyen sûr d'être couronné de succès dans les objectifs qu'on se fixe.
Est-ce la magie elle-même qui est en cause? Ou le praticien…
Dans ce topic, je vais tenter d'aborder les causes les plus répandues d'échecs magiques, afin que chacun soit à même de les éviter, et ce quel que soit le niveau de pratique.
L'échec de la volonté :
Dans les diverses disciplines magiques, vouloir c'est pouvoir. C'est un véritable pilier de la pratique, fidèle à la maxime "Quand on veut, on peut".
Ce qu'on doit déployer dans un rituel magique s'appelle "la volonté forte". C'est un état de volonté supérieure, une volonté focalisée et absolue qui doit être dirigée correctement au moment clé du rituel.
Quand on a un vague désir concernant le but à atteindre, quand cette volonté n'est pas un état transcendant, une sorte de "volonté de fer", alors il y a fort à parier que le rituel n'obtienne que de timides résultats, voire même aucun.
Le Sorcier doit absolument être capable de vouloir avec puissance. La volonté est le premier carburant d'un rituel quel qu'il soit. Un état de mollesse ou un désir peu intense ne fournissent pas l'énergie nécessaire pour que le rituel fonctionne.
Il existe certains exercices qui aident à affuter un état de volonté forte, et qui peuvent être fort précieux pour contourner ce premier écueil.
L'échec de la foi :
Ici, il ne s'agit pas de volonté, mais d'un état d'absolue conviction que le rituel va fonctionner, que la magie existe, que le but est atteignable, et que l'on procède correctement. C'est un état de foi.
Pendant et après le rituel, il est crucial de croire. Si le doute s'insinue, il mine le rituel et contrarie les énergies manipulées et relâchées vers leur objectif.
Si je pratique un rituel pendant lequel je passe mon temps à me dire "il y peu de chances que ça marche", "toutes ces foutaises quand même !", ou "est-ce que c'est vraiment possible ?", autant ne rien faire !! Le doute mine le rituel. C'est votre pire ennemi.
Déployer une forte volonté ne suffit pas si je doute qu'elle puisse m'apporter ce que je veux.
Il faut être dans un état de confiance et de conviction profonde, sous peine d'échec. Et même quand on se trouve perturbé dans un rituel par un détail (ca nous est arrivé à tous : de la cire qui dégouline, raccrocher sur des mots, laisser tomber un objet, etc.), il faut garder un état de parfaite conviction que : OUI, CA VA MARCHER !
Et après le rituel ? C'est sans doute la partie la plus délicate. Beaucoup d'auteurs conseillent de revenir au monde matériel en mangeant quelque chose, en se posant devant un film et surtout à ne plus penser à ce qu'on vient de faire. Pourquoi ? Parce que si je viens d'achever mon rituel, et que je me mets à me dire sans cesse "est-ce que ca va marcher ?", "est-ce que j'ai réussi ?", "je doute que ca marche !" etc., je produis alors une force antagoniste qui contre la force libérée par mon rituel. Ca risque au mieux de perturber les résultats, au pire, en cas de doute intense, de les nier, de les éradiquer.
Bien sûr nous sommes humains, et qui ne s'est jamais posé des questions les jours suivant un rituel, tâchant de déterminer si il allait réussir ? Mais pour un maximum de résultats, il faut en être absolument convaincu.
Chasser le doute d'un esprit très rationnel n'est pas chose aisée, et c'est une autre cause majeure d'échec. Autant que possible, il faut rester confiant, déterminé et sûr que tout se passe bien.
La loi du silence :
Il n'y a pas que nous-même qui puissions être des sources de nuisances pour nos rituels. Il y a les autres, en particulier ceux qui n'y croient pas. C'est pour ca que dans les 4 grands piliers de la sorcellerie dont nous aurons peut-être l'occasion de reparler, est mentionné le silence ("Savoir, vouloir, oser, se taire").
Pourquoi "se taire" ? Parce que si je me mets à clamer un peu partout que je vais ou que je viens de faire un rituel pour obtenir telle chose, ceux qui obtiennent cette information créeront sans doute une énergie parasite, surtout les plus sceptiques. Une énergie négative entravant les forces libérées.
Untel dira "il s'illusionne ! il croit vraiment au Père Noël !", un autre "ca ne peut pas marcher…", un autre "j'aimerais bien qu'il échoue !", etc.
C'est ce qu'on appelle des "Formes Pensées", des idées qui se matérialisent sur les plans subtils et qui pour le coup vont télescoper la force générée par le rituel.
Bien sûr, on peut se confier à un autre sorcier de confiance dont on sait qu'il est favorable et qu'il ne générera pas ce type de négativité. Mais c'est généralement une très mauvaise idée de confier qu'on va, ou qu'on a procédé à une opération magique à n'importe qui, et à plus forte raison à des gens qui n'y croient pas.
Moi-même je reste généralement extrêmement discret sur les rituels que je pratique, même avec mes pairs, quand je sens qu'il pourrait y avoir une forme de doute ou de scepticisme quant à telle ou telle opération. Il n'y a qu'à des amis de confiance que je m'ouvre, et encore, pas sur tout…
Il faut donc cultiver le secret quant à ses activités. C'est pour ça que la magie est tellement nimbée de mystère et de codes. Les praticiens sérieux s'enveloppent dans ce mystère pour protéger les buts qu'ils servent.
Voilà quelques uns des écueils les plus classiques. Eviter déjà ceux-là, c'est se protéger de beaucoup de désillusions. Il ne faut pas voir ça comme des contraintes, mais prendre ces plis là est déjà un moyen sûr d'être couronné de succès dans les objectifs qu'on se fixe.
Re: Rituels et pratique magique : les causes d'échec
Oui le plus difficile au départ c est d oublier le rituel pour ma part....
Comme tu le dis on est humain et il nous est tous arrivé de se dire j espere que ça va marcher.... si c est juste ça c est moins grave malgré tout il ne faut pas que ça perdure...
Comme tu le dis on est humain et il nous est tous arrivé de se dire j espere que ça va marcher.... si c est juste ça c est moins grave malgré tout il ne faut pas que ça perdure...
laurenttissier- Messages : 34
Date d'inscription : 19/02/2020
Age : 50
Localisation : bourges
Re: Rituels et pratique magique : les causes d'échec
Jordan-Adrien a écrit:En effet, moi je sens bien que je vais être embêté après le rituel avec les questions de genres "est-ce que ça va marcher ?"
Il faut éviter un maximum. En tout cas, pas que ça devienne une rumination ou une pensée fréquente...
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